16:27
Clémence Guetté invitée sur plusieurs chaînes d’information ce soir
La députée LFI, également vice-présidente de l’Assemblée nationale, donne rendez-vous sur Franceinfo, LCI et BFMTV ce soir, après « la chute de Bayrou ».
Rendez-vous ce soir après la chute de Bayrou.
Sur France Info radio, juste après l’annonce du résultat du vote.
À 21H sur LCI.
À 22H sur BFMTV. pic.twitter.com/bF7awUl726— Clémence Guetté (@Clemence_Guette) September 8, 2025
16:22
La séance est suspendue
La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet suspend la séance pour cinq minutes.
16:21
En cas de Premier ministre issu de la gauche, les Ecologistes refusent le 49.3
« Un gouvernement de gauche doit demander immédiatement le vote de confiance et renoncer au 49.3 », déclare Cyrielle Chatelain.
16:18
Cyrielle Chatelain réclame « une cohabitation » avec un gouvernement de gauche
« Le président n’a d’autre choix que d’accepter une cohabitation et de nommer un Premier ministre issu des rangs du Nouveau Front populaire. Non pas pour changer de visage, mais bien pour changer de cap », déclare la cheffe des députés écologistes. Elle refuse la « cure d’austérité » de François Bayrou. « Nous remplacerons l’austérité par la justice fiscale », affirme Cyrielle Chatelain.
16:15
Le sénateur socialiste Rémi Cardon dénonce un discours « court et creux »
« Il promettait une « épreuve de vérité ». On a eu un long sermon lyrique, sans une mesure concrète », regrette Rémi Cardon dans une série de messages diffusés sur X. Pour lui, il ne s’agit « pas » d’un « discours de politique générale, mais un testament politique ».
🧵 Discours Bayrou : court et creux
1/ Il promettait une « épreuve de vérité ». On a eu un long sermon lyrique, sans une mesure concrète.
— Rémi Cardon (@Cardon_Remi) September 8, 2025
16:13
Pour les Écologistes, le départ de François Bayrou « est un soulagement » et « presque une satisfaction »
La cheffe des députés écologistes Cyrielle Chatelain prend désormais la parole, alors que les bancs de la droite se vident à l’Assemblée nationale. « Votre départ est un soulagement », lance-t-elle. « Il serait presque une satisfaction s’il n’était pas accompagné de l’incertitude de la suite », affirme-t-elle. « Aucun chantage, aucun discours catastrophique et aucune tournée des plateaux de télévision ne permettra de construire une stabilité politique », ajoute-t-elle. Elle reconnaît que personne « ne dispose d’une majorité ».
16:10
Laurent Wauquiez appelle à un « programme de travail » avant de nommer un nouveau Premier ministre
Pour Laurent Wauquiez, « on ne peut pas se contenter de désigner une personnalité à Matignon sans avoir défini de programme de travail ». « Aucune démocratie mature et sérieuse au monde ne fait cela », lance-t-il. Pour lui, « la situation suppose des compromis ».
16:07
Marie Lebec prône « la stabilité du pays »
La porte-parole du groupe Ensemble pour la République indique, photo à l’appui, qu’elle votera « pour » le maintien du gouvernement Bayrou ce lundi.
16:07
Laurent Wauquiez appelle à s’attaquer à « l’assistanat »
Concernant la volonté de supprimer deux jours fériés, Laurent Wauquiez affirme que « nous ne pouvons pas faire du bien à la France en faisant du mal aux Français qui travaillent ». Il appelle plutôt à s’attaquer à « l’assistanat ». « La clé du sursaut français sera dans cette revalorisation du travail », affirme-t-il. Il estime ne pas avoir été entendu sur ce point par le Premier ministre. Il répète que certains des siens voteront pour la confiance, mais pas tous.
16:05
Marine Tondelier évoque « un final sans panache »
La secrétaire nationale des Écologistes a réagi à la prise de parole de François Bayrou sur son compte X. « Le discours que vient de prononcer François Bayrou était plus court qu’attendu. Comme s’il n’essayait même pas de se donner les moyens de convaincre. Un final sans panache », pointe-t-elle.
Le discours que vient de prononcer François Bayrou était plus court qu’attendu.
Comme s’il n’essayait même pas de se donner les moyens de convaincre.
Un final sans panache.
— Marine Tondelier (@marinetondelier) September 8, 2025
16:04
Laurent Wauquiez reconnaît que François Bayrou « a préféré les paroles qui sauvent »
Après avoir cité l’exemple de la démocratie grecque, Laurent Wauquiez salue le discours de François Bayrou qui a « préféré les paroles qui sauvent aux paroles qui plaisent ».
16:00
« LFI avec Jean-Luc Mélenchon est le premier danger politique pour notre République »
« LFI avec Jean-Luc Mélenchon est le premier danger politique pour notre République », tacle Laurent Wauquiez qui parle de « chaos ». Il réaffirme que les siens refuseront tout gouvernement avec des députés LFI ou qui appliquerait le programme du Nouveau Front populaire.
15:59
Pour Laurent Wauquiez, l’instabilité est un « poison économique »
Laurent Wauquiez estime que l’instabilité est un « poison économique » dont « tous les Français paient les conséquences ». « Il y a dans notre pays des artisans, des commerçants, des professions libérales, des entreprises, des salariés qui, eux savent le prix que l’on paye quand on déstabilise économiquement notre pays et ses institutions. »
15:55
Laurent Wauquiez : « l’instabilité n’est jamais quelque chose que nous devons prendre à la légère »
Au tour de Laurent Wauquiez (LR), pour le groupe Droite républicaine, de prendre la parole. « Nous enfonçons encore un peu plus notre pays dans la voie de l’instabilité (…) personne ne peut s’en réjouir », lance-t-il en disant « ressentir de la tristesse face à ce qu’est en train de devenir la politique française ». « L’instabilité n’est jamais quelque chose que nous devons prendre à la légère. »
15:54
Vallaud s’adresse au socle commun : « acceptez le désir de changement des Français »
Boris Vallaud appelle à « l’élan plutôt que le déclin ». Parlant au socle commun, il leur demander « d’accepter le désir de changement des Français ». « Négocier, ce n’est pas capituler ni renoncer à ses espérances », déclare-t-il. Il répète que la gauche est prête à gouverner. « Nous sommes prêts, qu’il vienne nous chercher », déclare-t-il à destination d’Emmanuel Macron.
15:49
« Il ne suffit pas d’être centriste pour être central », tacle Boris Vallaud, le PS votera contre
« Il ne suffit pas d’être centriste pour être central », tacle Boris Vallaud en parlant du « triste destin » de François Bayrou. « Monsieur le Premier ministre, vous n’avez pas été au rendez-vous », déclare-t-il en parlant de « trahison ». Il confirme que les socialistes voteront contre la confiance. « Nous proposons un autre chemin. »
15:44
Boris Vallaud prend la parole et dénonce « un faux sacrifice »
Le chef des députés PS Boris Vallaud arrive désormais au pupitre. Il accuse un « président battu » de nous « avoir conduit dans la situation dans laquelle nous sommes ». Il dénonce « le bilan » d’Emmanuel Macron sur les questions du budget. « Monsieur le Premier ministre, vous ne ferez pas de votre défaite, une victoire », déclare-t-il. « Derrière votre geste politique, votre faux sacrifice en dissimule un vrai : celui des Françaises et des Français. »
15:43
« Il y a un chemin, et un seul pour la France : celui de la vérité partagée, et du courage », conclut François Bayrou
« Nous sommes, nous le savons tous, un peuple qui s’interroge, non pas seulement sur son avenir, sur l’avenir du monde et de la planète, mais sur le chemin que l’on peut emprunter pour construire cet avenir », déclare le Premier ministre. En conclusion, il estime que « ce que dit le moment que nous vivons, c’est qu’il y a un chemin, et c’est le seul pour la France : celui de la vérité et du courage que l’on choisit ensemble ».
15:40
Le Premier ministre « croit aux compromis »
En appelant à un « soutien minimal », François Bayrou dit « croire aux compromis ». « Mais aux compromis qui respectent l’essentiel, qui ne se construisent pas sur l’ambiguïté », affirme-t-il en disant ne pas croire « à l’épreuve de force ».
15:37
« La logique » des partis politiques « les conduit à la division »
François Bayrou dit avoir une « haute idée des mouvements politiques ». « Mais les partis politiques ont aussi un défaut fondamental, qu’a si précisément vu, y compris à son détriment, le général de Gaulle : c’est que leur logique toujours les conduit à la division », affirme-t-il en parlant de « malédiction ». Il regrette que la « division » soit sur le point de « l’emporter ». « Les forces politiques qui annoncent qu’elles vont faire tomber le gouvernement, ce sont les forces politiques les plus opposées entre elles. »
15:35
« J’ai choisi de m’adresser à vous comme si le destin n’était pas écrit », affirme François Bayrou
« J’ai choisi de m’adresser à vous comme si le destin n’était pas écrit. Comme si la réponse de l’Assemblée nationale à l’engagement de responsabilité n’avait pas été annoncée à cors et à cris, sur tous les tons et toutes les antennes, de la part du plus grand nombre des groupes de cette Assemblée », assure le Premier ministre. « Tous les partis politiques qui ne font pas partie du gouvernement ont annoncé leur décision de renverser ce gouvernement », regrette François Bayrou.
15:33
« Vous n’avez pas le pouvoir d’effacer le réel », lance Bayrou aux députés
Pour François Bayrou, « le problème, la menace, le risque pour la France demeurera entier » en cas de chute de son gouvernement. « Parce que Mesdames et Messieurs les députés, vous avez le pouvoir de renverser le gouvernement, mais vous n’avez pas le pouvoir d’effacer le réel », lance-t-il aux parlementaires. Un « réel » qui « demeurera inexorable ». « Les dépenses continueront d’augmenter et le poids de la dette, sera de plus en plus lourd. »
15:32
Les grandes fortunes seront « appelées à participer spécifiquement à l’effort national »
Le Premier ministre affirme « qu’il conviendra de trouver un type de contribution qui fasse que les très hauts revenus et les très hauts patrimoines soient appelés à participer spécifiquement à l’effort national ».
15:31
Les grandes fortunes, « cibles emblématiques d’une pensée magique »
Sur la question des grandes richesses, François Bayrou regrette que les plus aisés soient « devenus les cibles emblématiques d’une pensée magique ». « On oublie deux choses essentielles : la première est qu’un pays comme le nôtre a besoin d’investisseurs » et que « ceux qui sont ciblés ont une réplique très simple et très immédiate : ils déménagent ».
15:29
Immigration : « il y a des anomalies, des injustices au détriment de nos compatriotes », reconnaît Bayrou
Sur la question de l’immigration, François Bayrou se dit « d’accord » qu’il « y a des anomalies, des injustices au détriment de nos compatriotes ». Prenant l’exemple de l’aide médicale d’Etat, il estime que « l’addition des économies est très loin de représenter un ordre de grandeur à la dimension du problème ».
15:26
« Si vous criez, je bois », se moque François Bayrou
« Si vous criez, je bois », ironise le Premier ministre face au brouhaha à certains moments dans l’Assemblée nationale. Il appelle à libérer les jeunes de « l’esclavage dans lequel on les plonge ».
15:26
Bayrou veut « que les plus avancés en âge » participent à réduire la dette
Le Premier ministre appelle à ce que « les plus avancés en âgé unissent leurs efforts pour alléger la dette que les plus jeunes devront acquitter ».
15:24
Les « plus jeunes portent et vont porter » le poids de la dette
En présentant les jeunes comme principales victimes, François Bayrou affirme que les nouvelles générations « portent et vont porter, pendant vingt ou trente ans, ou davantage encore, le poids des milliers de milliards des dettes que leurs aînés ont contractées et qu’ils vont, eux, devoir endosser ».
15:23
Pour François Bayrou, « tout est prêt, tout est en germe »
Pour lutter contre la dette, François Bayrou estime que « tout est prêt, tout est en germe ». « Ne manque que la détermination de ceux qui veulent en sortir », lance-t-il.
15:20
« La soumission à la dette, c’est comme la soumission par la force militaire »
« La soumission à la dette, c’est comme la soumission par la force militaire. Dominés par les armes, ou dominés par nos créanciers du fait d’une dette qui nous submerge, dans les deux cas nous perdons notre liberté », déclare le Premier ministre François Bayrou.
15:20
« La question de l’influence est vitale »
Pour le Premier ministre, « la question de l’influence est vitale ». Il liste les « valeurs » du pays, comme les « droits de l’homme et d’abord le droit des femmes » ou ceux « des enfants ». « Nous sommes les défenseurs menacés d’un bloc de valeurs lui aussi menacé », lance-t-il.
15:18
« Il faut agir sans retard »
Filant une métaphore maritime, François Bayrou déclare que « si nous voulons la sauvegarde du navire sur lequel nous sommes et sont nos enfants, il faut agir sans retard ». « Cela demande seulement la mobilisation de tous, et un effort modéré de chacun si on s’y prend à temps », ajoute-t-il.
15:17
« 50 milliards créés par le travail, plus de 100 milliards transférés à nos créanciers »
Avançant de nombreux chiffres, François Bayrou affirme que « 50 milliards d’euros sont créés par le travail » et « plus de 100 milliards sont transférés à nos créanciers ». « Notre pays travaille, croit s’enrichir et tous les ans s’appauvrit un peu plus. C’est une silencieuse, souterraine, invisible et insupportable hémorragie », lance-t-il.
15:12
« Notre pronostic vital est engagé » en raison du « surendettement »
Le Premier ministre affirme que « notre pronostic vital est engagé » en raison du « surendettement ». « La France n’a pas connu de budget en équilibre depuis 51 ans », assure-t-il. Il parle de « l’incroyable succession de coups du sort depuis 2020 », citant « le Covid, la guerre en Ukraine, la crise énergétique, l’inflation et les menaces de tout genre ». Il dénonce une « addiction » à la dette.
15:11
Bayrou veut « rééquilibrer » le « commerce extérieur » de la France
François Bayrou veut « rééquilibrer le commerce extérieur » de la France. « A commencer par le développement de l’agriculture, de l’industrie, de l’automobile, tout secteur où nous avons des atouts. »
15:09
Education nationale, « urgence sociale », sécurité, immigration…
Le Premier ministre pointe un problème de notre modèle éducatif, « aujourd’hui déclassé avec une chute sur la maîtrise des fondamentaux sur l’écrit ». Dans le même temps, il décrit une « immense question de modèle social », marqué par le « déséquilibre démographique par le vieillissement des Français ». François Bayrou évoque également les problématiques liées à « la sécurité et la justice » et à l’immigration. « Nous avons donc deux obligations : contrôler et maîtriser les arrivées et intégrer ceux qui sont et seront là, les intégrer par le travail, par la langue, par l’engagement à respecter nos principes de vie. »
15:07
« La production est une urgence nationale »
Pour François Bayrou, « si nous avions la production de nos voisins, la France n’aurait aucun problème de déficit » ni « de dette ». « C’est donc une urgence nationale. »
15:04
François Bayrou parle d’une « question historique »
Pour le Premier ministre, « ce dont nous traitons aujourd’hui, ce n’est pas une question politique : c’est une question historique ». « Les questions politiques, ce sont les questions pour la prochaine élection, mais les questions historiques ce sont les questions pour la prochaine génération », déclare-t-il.
15:02
François Bayrou vient d’arriver à la tribune
Le discours du Premier ministre démarre. « Cette épreuve de vérité, comme chef du gouvernement avec l’assentiment du président de la République, je l’ai voulue », commence-t-il. Pour lui, « le plus grand risque était de ne pas en prendre ».
15:02
La séance est ouverte
La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet ouvre la séance.
14:58
Violette Spillebout (EPR) va s’abstenir
Sur X, la députée macroniste du Nord Violette Spillebout indique qu’elle s’abstiendra « indépendamment » de son groupe politique. Elle déplore le traitement de l’affaire Bétharram par le gouvernement Bayrou.
14:50
François Bayrou attendu d’ici dix minutes
Le discours de François Bayrou est désormais attendu d’ici dix minutes. Il est arrivé à l’Assemblée nationale.
14:44
LIOT appelle aux « compromis avec les groupes qui ne souhaitent ni dissolution ni destitution »
Sur X, le groupe Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires (LIOT), qui compte 23 députés, appelle « les groupes qui ne souhaitent ni dissolution, ni destitution » à « bâtir des compromis ». « Notre groupe, au centre de l’échiquier politique, lance un appel d’union républicaine pour que l’Assemblée puisse continuer à travailler jusqu’aux prochaines présidentielles », écrit LIOT.
📸Conférence de presse #LIOT | #VoteDeConfiance |
🎙 Notre groupe, au centre de l’échiquier politique, lance un appel d’union républicaine pour que l’Assemblée puisse continuer à travailler jusqu’aux prochaines présidentielles.
Dans la crise actuelle, faisons preuve de… pic.twitter.com/29SXiG8dFd— Groupe LIOT (@GroupeLIOT_An) September 8, 2025
14:34
Le RN votera contre la confiance, confirme Jordan Bardella
À l’issue d’une réunion du groupe RN à l’Assemblée nationale, le président du parti Jordan Bardella confirme que les siens « voteront contre la confiance sollicitée par le Premier ministre ». « Emmanuel Macron a entre ses mains l’unique solution pour sortir notre pays de l’impasse politique : revenir aux urnes », écrit-il.
Avec @MLP_officiel, nous réunissons le groupe RN à l’Assemblée nationale.
Comme annoncé, nous voterons contre la confiance sollicitée par le Premier ministre.
Emmanuel Macron a entre ses mains l’unique solution pour sortir notre pays de l’impasse politique : revenir aux urnes. pic.twitter.com/6Zf3tCZqHt
— Jordan Bardella (@J_Bardella) September 8, 2025
14:28
Le discours de François Bayrou devrait durer 1 heure, Élisabeth Borne le lira au Sénat
Selon nos informations, le discours de François Bayrou à l’Assemblée nationale doit durer 1 heure. Dans le même temps, la ministre de l’Éducation nationale et numéro 2 du gouvernement Élisabeth Borne lira le même texte au Sénat.
14:25
Le RN réclame de nouveau une dissolution
Comme Marine Le Pen hier, le député de Moselle et porte-parole du RN Laurent Jacobelli réclame sur BFMTV une « dissolution pour donner une majorité solide à la France ». « S’il (Emmanuel Macron) nomme un Premier ministre, ce sera reculer pour mieux sauter », ajoute-t-il, parlant d’une nouvelle censure.
14:10
Boris Vallaud à la tribune vers 16 heures
Le député des Landes prendra la parole au nom du groupe socialiste après l’allocution de François Bayrou.
13:56
La guerre Wauquiez-Retailleau ravivée par le vote de confiance
Les deux caciques du parti Les Républicains (LR) s’affrontent depuis plusieurs jours sur la stratégie à adopter face à la crise. Quand le député député de Haute-Loire dit laisser aux élus une liberté de vote, le ministre de l’Intérieur, lui, appelle à soutenir le Premier ministre. Tous les détails dans notre article dédié.
13:34
Quel avenir pour François Bayrou en cas de chute du gouvernement ?
Selon RTL, le maire de Pau (74 ans) n’a aucune intention de dire « adieu » à la vie politique. Et promet qu’il « aidera de toutes ses forces » à trouver un nouveau Premier ministre.
13:07
Olivier Faure également au 20 Heures
Le premier secrétaire du Parti socialiste sera l’invité du JT de TF1 ce soir à l’issue du vote de confiance.
Contexte
Le gouvernement Bayrou soumis au vote de confiance
- C’est le jour J : le gouvernement de François Bayrou va être soumis ce lundi à un vote de confiance des députés à l’Assemblée nationale.
- A 15 heures, le Premier ministre a tenu un discours de politique générale devant son gouvernement et les députés présents dans l’hémicycle. Voici ce qu’il faut retenir de sa prise de parole.
- Le gouvernement Bayrou devrait, sauf retournement de situation, tomber à l’issue de ce vote, au vu des positions exprimées par les oppositions ces deux dernières semaines.
- Des rassemblements, appelés « pots de départ de Bayrou », sont organisés devant les mairies de nombreuses villes françaises lundi en fin de journée.