C’est sans haine, mais avec une farouche volonté de comprendre, que cette mère désormais âgée de 45 ans s’apprête à vivre ce maxi-procès, pour lequel elle a mis sa vie professionnelle en pause. L’accusé, qui l’aurait intoxiquée au potassium en janvier 2017 – point de départ de l’enquête -, devra dès ce lundi s’expliquer sur les trente empoisonnements qu’on lui impute.