Après sa victoire à l’US Open, le prodige de 22 ans a repris la première place mondiale à son concurrent italien en finale, et a conforté sa supériorité contre lui.
Cet US Open « parfait », selon ses dires, le confirme. Quand Carlos Alcaraz est à 100 % de son potentiel, personne ne peut s’approcher de lui. Pas même Jannik Sinner, dominé de la tête et des épaules en finale, dimanche (6-2, 3-6, 6-1, 6-4). « Depuis les premiers tours jusqu’à la fin, c’est le meilleur tournoi que j’aie jamais joué. Il m’a permis de constater que je pouvais jouer avec une grande régularité. » Le flamboyant Murcien est devenu métronome. Et redoutable au service, son relatif point faible. En sept matchs, il n’a ainsi perdu que trois fois sa mise en jeu et n’a eu à sauver que 10 balles de break, dont une en finale. Du jamais-vu depuis que l’ATP tient à jour cette statistique (1991). Une confirmation. L’Espagnol, au jeu si créatif et varié, est bien le seul joueur à avoir les armes pour faire dérailler souvent la machine Sinner. Et l’écart se creuse dans ses confrontations avec le Transalpin.
L’Espagnol mène désormais 10 victoires à 5 et a remporté 7 de leurs 8 derniers…
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