Un long silence. Une masse blanchâtre, dont on peine à distinguer les contours. Des mouvements si lents qu’ils semblent imperceptibles. C’est dans cet état semi-onirique, qui forcerait presque à plisser les yeux, que nous cueille Borda, la dernière création de Lia Rodrigues, présentée samedi 6 et lundi 8 septembre à la Biennale de la danse de Lyon (1).

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