Fini les vacances et retour aux choses sérieuses pour
Giulia Sarkozy. À 13 ans, la fille de
Carla Bruni et Nicolas Sarkozy poursuit son
parcours dans une école internationale bilingue réputée. Depuis la
sixième, elle y évolue dans un environnement exigeant qui conjugue
rigueur académique et ouverture culturelle. Ce choix illustre à
merveille l’héritage de ses parents, entre la passion artistique et
italienne de sa mère et la dimension internationale de son père. En
parallèle de ses études, la jeune adolescente s’est déjà créé un
espace bien à elle sur les réseaux sociaux. Sa popularité y grandit
rapidement et attire autant de curiosité que de critiques. Une
visibilité qui, si elle amuse certains, soulève aussi des
interrogations sur sa présence en ligne à un âge où l’équilibre
entre liberté et protection reste fragile.

Giulia Sarkozy, une influenceuse en devenir ?

À seulement 13 ans, Giulia Sarkozy occupe déjà une place
remarquée sur Instagram et TikTok. Suivie par des dizaines de
milliers d’abonnés, elle jongle entre sa passion pour
l’équitation
, son rôle d’ambassadrice et des contenus plus
personnels qui lui valent une vraie notoriété. Elle partage sans
complexe son quotidien, ses partenariats et ses expériences de
cavalière, s’imposant ainsi dans l’univers des jeunes
influenceuses.

Mais cette visibilité entraîne aussi son lot de turbulences.

La jeune fille a suscité de vives réactions en prenant
maladroitement la défense de son père, Nicolas Sarkozy, visé par
plusieurs affaires judiciaires
. Ce positionnement a alimenté
critiques et cyberharcèlement, soulevant des
interrogations sur l’impact de cette exposition médiatique sur sa
famille. Sa mère, Carla Bruni, a d’ailleurs accepté d’en parler
récemment lors d’un entretien avec la présentatrice Jin
Xing
.

Carla Bruni ultra cash sur la présence de sa fille sur la
Toile

Carla Bruni ne cache pas son dilemme face à la passion
de sa fille pour les réseaux sociaux
. Elle confie dans une
interview diffusée le 7 septembre 2025 qu’elle préfère doser
l’usage plutôt que de l’interdire totalement. « Les jeunes
aiment les réseaux sociaux, vous savez ? Elle travaille à l’école,
elle fait beaucoup d’équitation. Je ne sais pas si je peux lui
enlever des choses qu’elle aime. » Pour l’ancienne
Première dame
, il s’agit de respecter les goûts de Giulia,
même si elle garde une certaine inquiétude. Déjà au printemps
dernier, quand l’adolescente avait été bannie de TikTok, Carla
Bruni avait pris sa défense en dénonçant l’existence de comptes
pirates à son effigie.

Cette attitude de compréhension n’empêche pas la chanteuse de
rappeler régulièrement que le numérique n’est pas sans danger. Elle
a martelé dans son podcast que « c’est extrêmement dangereux
pour les enfants. Extrêmement dangereux, il faut que ce soit
absolument surveillé. Il faut faire attention à tout ce qui est
pédocriminalité, malades mentaux et aussi personnes fragiles. »
Un avertissement qui reflète sa prudence de mère, même si, depuis,
Giulia a retrouvé sa place sur TikTok, entre
plaisir de s’amuser et exposition médiatique.

Louis Sarkozy sans détour sur le même
sujet

Invité dans l’émission Le Figaro La Nuit,
Louis Sarkozy a aussi été interrogé sur la présence en ligne de sa
sœur Giulia
. Avec franchise, il a reconnu ne pas vraiment
suivre ce qu’elle publie. « Je ne connais en rien son existence
sur les réseaux sociaux. C’est déjà assez compliqué de gérer la
mienne. » Une réponse qui montre la distance qu’il
garde vis-à-vis de ce sujet
, préférant se concentrer sur
ses propres choix numériques.

Mais au fil de l’entretien, son discours s’est chargé d’émotion
et de fierté. L »essayiste franco-américain a
souligné avec affection les qualités de sa cadette : « Tout ce
que je peux vous dire c’est que c’est une petite d’une immense
intelligence. Ça fait peur, le niveau de maturité qu’elle peut
parfois incarner. » Plus qu’une adolescente active sur TikTok
ou Instagram, Giulia apparaît ainsi, à ses yeux, comme une
personnalité déjà marquée par une grande sensibilité et une
étonnante lucidité.