Si elle n’a pas été décisive dans le sauvetage de la patiente, véritable miraculée, cette action est au cœur de ce procès technique. L’anesthésiste, jugé pour trente empoisonnements, dont douze mortels, aurait détourné des médicaments, injectés en catimini aux patients de ses collègues, pour provoquer des complications et prouver ensuite ses qualités de réanimateur.