Moins de stationnement, plus de végétalisation : bientôt la fin des travaux de la Voie Lyonnaise 8 sur l’avenue Jean-Mermoz
Les travaux d’aménagement de la Voie Lyonnaise 8, démarrés en janvier dernier sur l’avenue Mermoz, arrivent à terme. Si le secteur reste toujours difficile d’accès pour les automobilistes, les bus et les piétons, il devrait proposer un visage plus agréable dans quelques semaines. Il sera aussi plus difficile de s’y garer.
Sur les réseaux sociaux, certains pointent du doigt les difficultés auxquelles vont être confrontés les automobilistes qui souhaitent se garer dans le quartier, avec la suppression de places de stationnement pour aménager cette piste cyclable et les bandes végétalisées. Notamment pour les personnes se rendant à l’hôpital privé Jean-Mermoz, même si l’établissement dispose d’un parking ouvert 24 heures sur 24, destiné aux patients et aux visiteurs.
Les trottinettes Dott augmentent leurs tarifs à la course après l’introduction de pass pour les usagers réguliers
En mai dernier, Dott, la société franco-néerlandaise de trottinettes en libre-service, augmentait son tarif à la minute. Un changement de quelques centimes d’euros supplémentaires que peu d’utilisateurs ont certainement relevé mais qui questionne quand on sait que l’opérateur se trouve en situation de monopole à Lyon depuis le début de l’année. Celui-ci justifie cette décision alors que la Ville explique qu’elle ne peut agir sur la politique tarifaire des opérateurs privés.
Cette absence de concurrence a-t-elle incité Dott à augmenter son tarif à la course de 8 %, depuis le 19 mai dernier ? Si la hausse sur le papier semble marginale et indolore pour les usagers, de 25 à 27 centimes, elle prend d’autres proportions au regard du volume enregistré chaque année.
« Perçu aujourd’hui comme un marché local, si on le déplaçait à Bellecour, il pourrait prendre une dimension internationale comme Strasbourg », estime Théodore Lafond. Photo fournie par Gentlewiew
Serait-ce une bonne idée de déplacer le marché de Noël de Carnot à Bellecour ?
Mise en ligne mardi 9 septembre, la pétition affiche de grandes ambitions pour le marché de Noël de la ville. Mais évoquer son départ de Carnot à Bellecour présente aussi quelques inconvénients et mettrait un sérieux coup de canif à la tradition. « C’est un projet interrogatif et non offensif », indique son instigateur. « Ce n’est pas d’actualité », déclare la municipalité.
Ce projet, suffisamment fouillé pour être chiffré est à mettre à l’actif de Théodore Lafond, patron de l’agence de communication lyonnaise, Gentleview. Au Progrès, il confie : « Avoir un si petit marché de Noël c’est un non-sens pour une ville comme Lyon. Et maintenant que je suis père, je veux juste que cette période soit féerique et pour cela je veux bien donner de mon temps s’il le faut ».
Blocage du 10 septembre : « Ils sont venus pour casser et créer le bazar », déplore cette commerçante
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Kelly Ingargiola, gérante de la boutique Perrayon 1884 et présidente des commerçants de la rue Victor-Hugo a reçu, jeudi 11 septembre, la visite des autorités pour un « débriefing ». Photo Christelle Lalanne
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Pour la seconde fois, la boutique de vins et spiriteux Nicolas a été la cible des casseurs ce mercredi 10 septembre. Photo Christelle Lalanne
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« Notre rôle est la protection des biens et des personnes et que la liberté de commerce soit garantie » : Antoine Guérin, préfet délégué à la sécurité du Rhône. Photo Christelle Lalanne
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Place Ampère, la Caisse d’Epargne aussi a été victime des casseurs. Photo Christelle Lalanne
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Si le restaurant McDonald’s était ouvert ce jeudi 11 septembre au matin, les vitrines donnant sur la rue Victor-Hugo, n’avaient pas encore été réparés. Photo Christelle Lalanne
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« Nous n’avons pas tous les moyens d’investir dans des protections en bois qui coutent entre 2 000 et 5000 euros. » Photo Christelle Lalanne
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Petit tour rue Victor-Hugo à la rencontre des commerçants, ce jeudi matin, pour Grégory Doucet, maire de Lyon, Antoine Guérin, préfet délégué à la Sécurité et Régis Poly, vice-président de la CCI. Photo Christelle Lalanne
Au lendemain de la journée « Bloquons tout » qui a rassemblé près de 8 000 personnes à Lyon, 1 300 policiers et gendarmes et conduit à 25 interpellations, les pouvoirs publics se sont rendus rue Victor-Hugo à Lyon. La présidente des commerçants, Kelly Ingargiola, tout en reconnaissant la présence efficace des forces de police, a demandé à « être plus vite informée des mouvements des manifestants lors du 18 septembre ».
Lors de la visite, quasi impromptue ce jeudi midi dans sa boutique, de Grégory Doucet, maire écologiste de Lyon et de ses adjoints, d’Antoine Guérin, préfet du Rhône délégué à la sécurité et de Régis Poly, vice-président de la Chambre de commerce et d’industrie, Kelly Ingargiola n’a pas manqué d’évoquer la sécurité des commerçants. « Est-ce à nous d’assurer notre propre sécurité lors des manifestations alors que la police sait comment se déplacent les casseurs ? Nous ne sommes pas prévenus assez vite de leur arrivée et de leurs déplacements. »
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Hépatite A : explosion du nombre de cas dans le 7e arrondissement
Un enfant de l’école maternelle Claudius-Berthelier (7e) a contracté l’hépatite A. Ce nouveau signalement s’inscrit dans une hausse préoccupante du nombre de cas dans le Rhône : +356 % par rapport à l’an dernier. Avec des malades majoritairement localisés à Lyon, en particulier dans le 7e arrondissement.
Depuis début juillet, « 85 cas d’hépatite A ont été identifiés dans le Rhône, dont 32 indiquent habiter le 7e arrondissement de Lyon. » Pour 12 d’entre eux, l’ARS n’a pas retrouvé de cause de contamination habituelle (voyage à l’étranger, consommation de fruits de mer, cas dans l’entourage…). Alors, comment expliquer cette hausse fulgurante ?
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La piscine de Vaise (9e), située rue Sidoine-Apollinaire, était fermée depuis juin 2024. Photo d’archives Thibault Delpérié
Après plus d’un an de travaux, on connaît (enfin) la date de réouverture de la piscine de Vaise
En chantier depuis l’été 2024, la piscine de Vaise (9e) accueillera à nouveau du public à compter du 20 septembre : juste à temps pour les Journées européennes du patrimoine. Les travaux de rénovation de cet équipement, ont coûté près de 7 M€. Ils visaient à améliorer sa performance énergétique, sa qualité d’usage et son accessibilité.
Sont programmées pour cette occasion, des animations, visites guidées, et la découverte d’espaces techniques habituellement inaccessibles : « On pourra visiter les dessous du bassin », se réjouit l’élu.