L’écrivaine américaine Joyce Maynard. JOANNA ELDREDGE MORRISSEY/PHILIPPE REY
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« Il est inhabituel qu’un éditeur étranger occupe une place de première importance dans la vie d’une autrice, mais c’est pour moi le cas de Philippe Rey, éditeur de mes livres en France. » Ainsi s’achève le douzième roman de Joyce Maynard qui connaît depuis dix ans un succès grandissant grâce aux incessants efforts de Philippe Rey (également éditeur de Joyce Carol Oates). Et le fait est que l’œuvre de Joyce Maynard, toute de générosité et d’intelligence émotionnelle, est en train de prendre une remarquable ampleur.
La romancière, qui vit au Guatemala et dans le New Hampshire, raconte ici la deuxième vie d’Eleanor, après un douloureux divorce et la mort de ce mari qui l’avait abandonnée. Que reste-t-il de la vie d’une femme quand les enfants ont quitté le nid, et qu’on n’est pas sûr d’avoir envie de s’ouvrir à …
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