« Voilà huit ans que l’on attend ce procès. C’est long, très long. C’est une satisfaction et en même temps, une angoisse car il va falloir se replonger dans ces moments extrêmement douloureux. »
Pour Michaël et Éléonore, les parents d’Abigaëlle, le 25 avril 2017 reste une date tatouée au fer rouge. Jusqu’ici, il a fallu vivre avec. Avec l’indicible. Avec la mort dans des conditions tragiques de l’une de leurs trois petites filles, toutes nées trop tôt, à 29 semaines et demie de grossesse,…