À la rentrée 2024, les loyers des logements Crous parisiens avaient déjà augmenté jusqu’à 3,5 %. La première hausse depuis quatre ans, puisqu’un gel des loyers, instauré lors de la crise sanitaire, s’appliquait au niveau national depuis 2020. « Ces augmentations ne pallieront pas le déficit du Crous », souffle Mathieu Devif, vice-président étudiant du Crous de Paris. Pour lui, des discussions devraient avoir lieu « avec les bailleurs sociaux, qui pourraient limiter les loyers demandés au Crous, ou avec l’État. »