Trois cents personnes ont défilé dans le centre-ville de Grenoble mardi soir, dans une ambiance aussi joyeuse que feutrée. La nuit à peine tombée, les manifestants se sont élancés de la place Hubert-Dubedout.
« C’est une manifestation qui sera assez intimiste », a prévenu Tom, un étudiant grenoblois. Des torches éteintes à la main, les manifestants qui ont défilé avaient pour la plupart entre 20 et 30 ans.
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur « J’accepte », les cookies et autres traceurs seront déposés et vous pourrez visualiser les contenus (plus d’informations).
En cliquant sur « J’accepte tous les cookies », vous autorisez des dépôts de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
J’accepte
J’accepte tous les cookies
« Avec le vent, on n’allumera les flambeaux qu’au niveau du musée », a annoncé un membre du mouvement “Bloquons tout !”. « Je reviens parce que je suis en colère de ne pas être écoutée », a témoigné Anne. Au rythme de deux fanfares militantes qui encadraient le cortège, l’ambiance est restée bon enfant.
« Il faut différents types de mobilisation pour résister. On y partage aussi nos émotions, c’est assez salvateur, a confié Samuel. Avec les flambeaux, la nuit… Ça donne un autre sentiment de puissance collective. »