Lauren Sánchez a annoncé en exclusivité au micro de People la sortie du second volet de sa série littéraire The Fly Who Flew, comprenez La mouche qui volait.
Alors que l’insecte se rendait dans l’espace dans le premier tome (The Fly Who Flew to Space) — à l’instar de l’épouse Bezos en avril dernier —, dans le second, il part à la découverte des profondeurs maritimes. Ce nouveau livre pour enfants intitulé The Fly Who Flew Under the Sea (La mouche qui volait sous la mer) est prévu pour le 3 mars 2026.
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« L’histoire suit Flynn dans une aventure sous-marine après un mauvais virage à Cap Canaveral, en Floride », rapporte People. « Flynn apprend alors tout sur la vie marine, notamment les récifs coralliens et les mangroves, les chaînes de montagnes sous-marines et même les calmars géants, ainsi que la valeur précieuse et la nature menacée des océans. »
Une cause qui lui est chère
L’annonce de ce nouveau livre coïncide avec le don de 37,5 millions de dollars (environ 31,6 millions d’euros) de la Bezos Earth Fund « pour aider à protéger l’océan Pacifique et préserver 835 000 miles carrés d’océan », selon les dires de Lauren Sánchez, rapportés par People. Un engagement qui tient à cœur à l’épouse de Jeff Bezos, vice-présidente de l’association de son mari, qui s’estime « fière qu’une histoire que les enfants vont adorer puisse côtoyer des actions concrètes en faveur de la planète ».
Par ailleurs, à travers ses livres, l’ancienne animatrice espère promouvoir un autre message : l’importance de la lecture dès le plus jeune âge, surtout face à l’émergence des nouvelles technologies.
« Je crois que l’émerveillement développe les muscles, la curiosité, la résilience et le courage. Les livres pour enfants ne sont pas seulement mignons, ils sont aussi une sorte de cours de gym pour l’esprit et le cœur », explique Lauren Sánchez. « Je suis ravie que cette histoire donne l’impression que l’océan est proche, comme un voisin que l’on veut protéger. Et oui, je vais le répéter : les livres, pas les robots. La technologie peut être géniale, mais l’attention est précieuse. Si Flynn peut éloigner un enfant de son écran et l’attirer dans une histoire, c’est une victoire pour les parents et pour la vie. » Une déclaration qui ne manquerait pas d’être approuvée par les éducateurs de la petite enfance mais qui suscite tout de même l’étonnement quand elle est énoncée par l’épouse du fondateur d’Amazon, fortement impliqué dans le développement des technologies liées à l’intelligence artificielle.