Il a fixé rendez-vous à La hache , rue de la Douane. Un lieu emblématique, tant de la success-story strasbourgeoise de Diabolo Poivre, qui compte aujourd’hui une dizaine d’établissements pour un peu plus de 300 salariés et à laquelle il a largement contribué, que du nouveau virage qu’il s’apprête à effectuer ; de son tropisme pour les lieux chargés d’histoire, aussi. Comme « une suite logique » dans son parcours, Gilles Egloff a décidé, à l’issue de 18 ans d’une très belle aventure, de tourner la page Diabolo Poivre. « Je quitterai le groupe courant octobre », confirme autour d’un café le futur ex-acolyte de Jérôme Fricker, avec qui tout a commencé, et de Christophe Lemennais.
L’envie de retrouver la salle et le contact avec les clients
Une surprise ? Pas pour lui ; ni vraiment pour ses associés. « On fait le point deux fois par an. On a toujours discuté ouvertement de nos ressentis et de nos envies. Le jour où j’ai visité Aux trois chevaliers , avec sa situation exceptionnelle quai…