Pour réussir, il suffit de travailler, dit-on, mais encore faut-il savoir comment. Les classes préparatoires poussent à apprendre et les réformes se suivent mais ne se ressemblent pas. En médecine, les étudiants sont habitués à vivre avec ce climat d’incertitude permanent, véritable Épée de Damoclès qui plane au-dessus de leurs têtes.

Mais s’il y a bien une constante dans l’équation, c’est la charge de travail. « La première année de médecine, ce sont 8 mois de privations pour une vie de plaisir et de passion », résume Maxime Zeghouani. Le jeune…