Élue Miss Île-de-France le 20 septembre, Mareva Michel espère bien devenir Miss France 2026 en décembre prochain. Gala vous propose d’en savoir plus sur cette jolie Franco-Mexicaine de 21 ans qui a déjà tout d’une reine.
Et une jeune femme de plus qui se prépare pour l’élection de Miss France 2026, qui aura lieu le 13 décembre prochain. Mareva Michel a été élue, le samedi 20 septembre à Dammarie-les-Lys (en Seine-et-Marne), plus belle candidate de l’Île-de-France. Originaire des Yvelines, cette étudiante en commerce est âgée de 21 ans et porte le même prénom que deux autres Miss nationales (Galanter et Georges, élues en 1999 et 1991). Franco-mexicaine, elle est prête à rendre fière sa famille en tentant de décrocher l’écharpe de reine de beauté nationale. La jolie brune représentera, en attendant et la tête haute, les 12 millions d’habitants de sa région.
Comme le rapportent nos confrères du Parisien, Mareva Michel a été couronnée Miss Yvelines à Poissy, en avril dernier. Elle a ensuite réussi, ce week-end, à obtenir l’écharpe de Miss Île-de-France en passant devant les quinze autres jeunes femmes en lice. Dans moins de trois mois, elle devra faire face aux trente autres reines de beauté régionales espérant succéder à Angélique Angarni-Filopon. Née en 2003 à Poissy, la jolie brune a grandi à Maisons-Laffitte et a été scolarisée dans un lycée de Sartrouville. Depuis quatre ans, elle étudie le commerce à l’ESSEC, à Cergy. Son objectif est ensuite de réaliser un master en marketing digital pour travailler dans ce milieu plus tard. Elle aimerait, plus précisément, exercer dans le domaine des cosmétiques ou de la parfumerie. Son avenir dans la compétition Miss France déterminera son destin et la suite de ses études.
Une Miss qui suit les traces de sa mère et de sa tante
Si Mareva Michel souhaite tant devenir Miss France, c’est parce qu’avant elle, deux femmes de sa famille ont été des reines de beauté au Mexique. Il s’agit de sa mère et de sa tante, qui l’inspirent. Auprès de nos confrères, elle révélait être prête pour suivre le même chemin qu’elles : « C’était à mon tour, j’attendais juste le meilleur moment. » Soutenue par les siens, elle déclarait aussi, en mai dernier dans les colonnes de 78actu : « J’ai attendu d’être sur le point de finir mes études. Je ne voulais pas brûler les étapes. Je souhaitais pouvoir m’appuyer sur quelque chose de solide avant de tenter l’aventure. »
Article écrit avec la collaboration de 6Medias