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Hommage à ceux qui ont entretenu et sauvé la nef

Introduisant cette soirée, Francis Klakocer, président de la Société des amis de la cathédrale de Strasbourg, n’a pas manqué de citer Camus qui décrivait les cathédrales comme « les plus hautes et originales expressions du génie de la France », avant de rappeler la dimension spirituelle de ce moment.

Le caractère sacré de cette partie de la cathédrale a été pointé par Francis Klakocer, qui a eu une pensée pour toutes les personnes qui s’y sont recueillies et qui ont vu leur destin orienté entre ces murs. Des murs dont l’histoire singulière a été contée au cours de cette soirée, rappelant avec émotion et reconnaissance le rôle de chaque être ayant participé à entretenir et sauver la cathédrale.

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Une rétrospective en spectacle

Près d’une heure trente de spectacle a été proposée aux spectateurs. Une série de vidéos, reprenant chacune un pan de l’histoire et de la composition de cette nef, dans un texte écrit et lu par Benoit Jordan, conservateur des archives, étaient projetées sur grand écran, tandis que des chants et compositions musicales faisaient vibrer les murs de grès rose. La cantate BWV 21 de Bach et Liszt, interprétée à l’orgue par Guillaume Nussbaum, a notamment introduit le spectacle, tandis que Viderunt omnes, de Perotin, interprété par un quatuor vocal, a apporté une transition entre une époque et la suivante au cours de laquelle la nef a été bâtie.

La soirée s’est ponctuée par une salve d’applaudissements suivie de quelques contemplations de cette nef qui a vu ses moindres secrets révélés, 750 ans et 12 jours après son inauguration.