Le concept de bouillon contrecarre les problématiques de pouvoir d’achat.

« Pas encore décidés »

« On a tous subi la crise du covid et celle de la guerre en Ukraine qui a fait augmenter les prix, nous répond ce mardi Bertrand Hesnard, le dirigeant du groupe breton Kolibri, à la tête des quatre bars-restaurants. Il y a depuis eu une désaffection de la clientèle pour le secteur de la restauration. Le bouillon nous permet de revenir à un restaurant plus abordable, en continuant de consommer de la qualité. Le concept contrecarre les problématiques de pouvoir d’achat. Le changement est une possibilité à Brest, mais en toute transparence, nous ne sommes pas encore décidés.»

Le groupe Kolibri veut encore prendre le temps de mesurer l’impact des virages stratégiques pris à Nantes, Lorient et Rennes. Il devrait se prononcer sur l’avenir de l’adresse brestoise d’ici à fin octobre – début novembre. Aucune fermeture n’est en tout cas envisagée, assure Bertrand Hesnard.