Cécilia Hornus a beau tourner à Marseille depuis plus de vingt ans pour les besoins de « Plus belle la vie », elle n’a jamais cédé aux appels de la cité phocéenne. En effet, la comédienne est restée vivre tout ce temps à Paris et, en interview pour « Purepeople », elle en explique les raisons.
En 2004, France 3 a lancé sa première série quotidienne appelée Plus belle la vie, sans savoir que celle-ci connaîtrait un succès aussi populaire et une longévité si incroyable. Pourtant, plus de vingt ans plus tard, le feuilleton compte encore de nombreux fidèles, lesquels l’ont suivi sur TF1 lorsque la chaîne a récupéré les droits en 2024 pour lancer une nouvelle version baptisée Plus belle la vie, encore plus belle. L’aventure se poursuivait alors pour plusieurs comédiens emblématiques, dont Cécilia Hornus qui n’a pas hésité à reprendre son rôle de Blanche Marci.
Il faut dire qu’elle lui prête ses traits depuis les tout débuts. Mais aussi investie qu’elle l’est pour la série, l’actrice n’a jamais voulu bousculer sa vie pour les tournages. En effet, en interview pour Purepeople, Cécilia Hornus revient sur son choix de ne pas s’être installée à Marseille, où se passent pourtant toutes les intrigues, au profit de Paris.
La vie de famille de Cécilia Hornus à Paris privilégiée
« À un moment, je me suis dit que j’allais m’installer là-bas. Mais en fait quand on commence à faire ce feuilleton, on n’est pas du tout sûrs que ça va durer le temps que ça va durer. Je me suis dit que c’était mieux de faire des allers-retours. Et toute ma famille est basée à Paris ou dans l’ouest de Paris. Je me suis beaucoup occupée aussi de mes parents qui sont décédés l’an dernier. Donc en vrai, pour moi, c’était une évidence de rester à Paris. Le papa de mes enfants dont je me suis séparée travaillait et avait un poste là-bas. Et puis mes enfants y étaient scolarisés. Je n’ai pas eu envie de tout bouleverser« , a-t-elle expliqué.
Cécilia Hornus se sent toutefois complètement chez elle lorsqu’elle retrouve la cité phocéenne, y ayant longtemps eu un pied-à-terre presque familial. « De fait, j’ai quand même un pied marseillais puisque j’ai vécu en colocation chez des marseillais, des amis très chers pendant 15 ans. Et puis là, ces dernières années, ils ont déménagé donc, je suis à l’hôtel« , nous a-t-elle précisé.
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Article original sur Purepeople