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Quand Donald Trump est intervenu mardi à la tribune de la 80e session de l’Assemblée générale de l’ONU, il n’a pas parlé en qualité de principal leader du monde libre comme on a souvent décrit le président des Etats-Unis, mais comme le chef de file d’un mouvement global de droites populistes et conservatrices. Devant les délégués de 193 Etats membres, il a entonné des thèmes qui sont chers aux partis d’extrême droite: l’immigration et le changement climatique. Il a laissé ressortir tout le mépris qu’il éprouve envers les dirigeants actuels des démocraties européennes. Un constat qui ne devrait pas surprendre. Une étude publiée cette semaine par le European Council on Foreign Relations et la European Cultural Foundation révèle que l’administration Trump s’applique à mener une «vraie guerre culturelle» contre l’Europe démocratique, à soutenir des leaders de la droite nationale populiste en interférant dans les processus électoraux.

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