« J’y vois surtout 29 raisons supplémentaires de tomber en panne », grince Jean-Luc, « un boomer », tel qu’il se présente, cheveux blancs soigneusement peignés, Adidas blanches impeccables, devant la concession Renault Dacia, à Nanterre (Hauts-de-Seine). Le sexagénaire, qui prospecte pour sa nouvelle voiture, mise sur Dacia, « réputée frugale en électronique », et sur Toyota, considérée comme « fiable ».