Karine Le Marchand dans le «Good morning» de BFM Business
Capture d’écran
VIDÉO – La présentatrice de «L’amour est dans le pré» sur M6 était l’invitée de BFM Business dans la matinale de la chaîne économique, afin de présenter sa nouvelle application de rencontre.
Décidément, Karine Le Marchand semble bien occupée. Après avoir été décorée de la médaille de Chevalier des Arts et Lettres par Rachida Dati ce lundi 22 septembre, la présentatrice de «L’amour est dans le pré» sur M6 s’est lancé un nouveau défi. Désormais entrepreneuse, l’animatrice a lancé sa propre application de rencontre.
Celle-ci s’appelle Le club des belles âmes, et devrait s’imposer comme une innovation comparée aux plateformes de dating déjà existantes et décevantes selon Karine Le Marchand. «Le problème, c’est le pseudo, le manque de vérifications. Vous pouvez aller ces applications en étant marié, en disant que vous êtes célibataire, que vous vous appelez “zézette 785”, mettre des photos de votre cousine, et faire des rendez-vous en étant complètement mythomane. C’est la jungle ! C’est souvent pour un coup d’un soir, pas pour l’amour sincère et durable. C’est ça le problème», a-t-elle déclaré sur le plateau de BFM Business dans la matinale à laquelle elle était invitée à participer, ce mercredi 24 septembre, justement pour présenter son nouveau projet.
«On a une grosse plateforme, qu’on a mis des mois à faire, où les gens se décrivent en prenant beaucoup le temps, et on arrive vraiment, en lisant leur dossier, à savoir qui ils sont. Ensuite, on va les réunir par affinités, entre 50 et 100 personnes, et ils vont faire un parcours où tous vont se rencontrer, sans le stress du tête-à-tête, en ayant des points communs. Que ce soit au niveau socio-éducatif, de la façon de vivre, des hobbies, etc. Et tout est vérifié», a-t-elle assuré.
Des profils triés sur le volet grâce à des questions précises. «Alors, évidemment on demande, le niveau d’études, les enfants, la garde ou non, les préférences sexuelles, si on est OK pour une relation libertine. On vérifie aussi les fiches de paie, mais aussi l’identité, la déclaration de patrimoine… Le but est d’arrêter la mythomanie», a précisé l’animatrice.
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Le maître de mot de cette nouvelle application, la sécurité de ses utilisateurs. «Pendant quatre mois, on a eu plus de mille user-testeurs, des gens qui, bénévolement, nous ont dit ce qu’ils ne voulaient plus vivre dans les applications et leurs craintes. La première chose, à 95% et chez les hommes aussi – parce qu’ils tombent aussi sur des michtos, des filles très intéressées par leur argent et qui leur demandent des choses très rapidement – c’était la sécurité. Toutes les personnes qui ont souffert de ça sont OK pour être dans la transparence. Il y a aussi une charte d’engagement moral. Le ghosting (pratique qui consiste à mettre fin à une relation disparaissant sans prévenir, ndlr.) est interdit. Si jamais on a une relation et que j’y mets fin, je dois vous dire pourquoi. On ne bloque pas les gens comme ça. On rééduque les gens sur des valeurs essentielles de la rencontre sincère», a-t-elle conclu. Les célibataires intéressés peuvent déjà s’inscrire en remplissant le formulaire aux fameuses questions, ainsi qu’en s’acquittant de la modique somme de 150 euros, rien que pour les frais d’adhésion au club.