Ma volonté, c’est de montrer ma sale tête sur les autres conférences de presse, comme ça, vous ne me poserez plus la question. Préparez-vous à voir ma sale tête jusqu’à fin mai. » Cela a au moins le mérite d’être clair. Confirmé dans ses fonctions par le président du Sporting Claude Ferrandi au lendemain de la défaite du club face à Rodez (2-3), Benoît Tavenot s’est montré combatif, un brin blagueur en ironisant sur sa situation.
S’il y a bien une chose que l’on ne reprochera pas au technicien insulaire, c’est son abnégation, lui qui avait confié être « détruit », après la défaite du mardi 23 septembre. Justement, il faudra que son groupe en possède autant que lui s’il veut ramener les trois points de Grenoble. Car oui, si auparavant un match nul à l’extérieur contentait les joueurs, le staff et les supporters (sachant que Bastia n’a jamais vraiment brillé loin de Furiani), la situation actuelle fait qu’un point ne serait pas suffisant, alors zéro, inutile d’y penser.
Attention aux coups de pied arrêtés
Dans le rush, avec ce cinquième match en quinze jours, le Sporting a axé sa séance du mercredi sur sa récupération et jeudi, c’était séance spéciale coups de pied arrêtés, car le club vi…