LA SÉLECTION DU FIGARO – Primeurs, cavistes, boulangeries ou bonnes tables s’y succèdent à chaque pas-de-porte ou presque : les artères parisiennes à arpenter sans modération.

Après une première promenade, l’an dernier, dans les rues Sainte-Anne, du Nil, des Gravilliers, du Bac, du Faubourg-Poissonnière et des Martyrs, rebelote avec ces six voies, qui concentrent chacune une quinzaine de restaurants et de commerces de bon goût.

La plus sucrée : rue de Bretagne (3e)

L’histoire. Qu’elle a changé, cette jolie rue de Bretagne, au cours de la dernière décennie ! Longeant le square du Temple et la mairie du 3e – désormais Paris Centre -, elle a profité de la montée en puissance du haut Marais, dont elle est l’artère commerçante, alors que le Marais historique, de plus en plus touristique et tourné vers les marques de luxe, laissait une place vacante. Elle tient son nom d’un projet d’Henri IV au XVIe siècle qui voulait bâtir une grande « place de France », où aboutiraient plusieurs artères portant chacune le nom d’une province française.

Les adresses. L’épicentre de la rue est le charmant Marché des Enfants Rouges (au 39), ancêtre des « food courts » parisiens, où la place manque mais où l’on…

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Le Figaro

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