Des élections législatives déterminantes pour l’avenir européen de la Moldavie se tiennent dimanche 28 septembre dans ce pays coincé entre la Roumanie et l’Ukraine. Elles ont lieu dans un contexte de déstabilisations, notamment numériques, menées par la Russie et qui ont déjà été constatées lors de l’élection présidentielle. Le 10 septembre, la présidente Maia Sandu dénonçait encore sur le réseau social X les « attaques hybrides » menaçant la « résilience de la Moldavie ».
Depuis les années 90, Moscou garde un bataillon militaire en Transnistrie, région moldave russophone qui a tenté de faire sécession. Fin août, les dirigeants français, allemand et polonais (dit « Triangle de Weimar ») s’étaient rendus en Moldavie pour célébrer la fête nationale aux côtés de la présidente moldave pro-européenne Maia Sandu. Car, effectivement, ces législatives sont aussi un enjeu pour l’Europe, comme l’explique à La Nouvelle République le chercheur en science politique Florent Parmentier, auteur de l’article La Moldavie à l’épreuve de la guerre en Ukraine, publié dans la revue Balkanologie….
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