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Entre 2010 et 2025, le taux d’hospitalisation est passé de 31 % à 47 % aux urgences adultes du CHU de Rennes. Ces séjours longs contribuent à la saturation des urgences. © Thomas Brégardis / Archives Ouest France
Au CHU Pontchaillou de Rennes, comme dans les hôpitaux privés de Cesson-Sévigné et Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine), les services d’urgences sont au bord de la rupture. Hausse continue du nombre de patients, pénurie d’urgentistes, manque de lits : le système craque et les fermetures ponctuelles se multiplient. Quel remède pour briser ce cercle vicieux ?
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Julia TOUSSAINT et Samuel NOHRA.
Ouest-France
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