Les européens Shane Lowry et Justin Rose célèbrent leur victoire à la 45e édition de la Ryder Cup, dimanche 28 septembre.
Robert Bukaty / AP

Les amateurs de golf et de sport ont vécu l’une des éditions les plus renversantes de l’histoire.

En raison de l’ultra-domination européenne des deux premiers jours dans les doubles, cette 45e édition de la Ryder Cup aurait pu être une « piquette », elle a été un grand cru. Nantie de 7 points d’avance avant les simples (12-5), l’Europe a bien failli tout perdre dans le sprint final grâce à l’exceptionnelle réaction d’orgueil de l’équipe américaine lors des simples du dimanche. Un come-back qui aurait pu être l’un des plus incroyables de l’histoire (défaite 15-13 au final). Presque un « miracle de Medinah » inversé. En 2012, alors menés 10 à 6 à l’issue des doubles, les Européens avaient renversé les USA à domicile 14,5 à 13,5. Point de miracle, cette fois, mais une admirable remontada et un étouffant suspense qui ont fait basculer cette édition dans l’irrationnel.

Huit matchs de simple se sont ainsi terminés jusqu’au trou no18. Il n’y en avait pas eu autant depuis l’édition 1993 (9). En larmes après avoir enquillé son putt décisif sur le 18e trou, pour permettre à l’équipe…

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Le Figaro

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