Le conseil municipal de rentrée comportait onze délibérations dont la moitié ne comportait pas de vote. Le maire a insisté sur le plan communal de sauvegarde (PCS) en particulier pour les risques d’inondation. En cas de crise c’est le maire ou le préfet qui active la cellule de crise. Cette dernière énumère les différents acteurs la composant. En plus, la ville est équipée d’une valise (radio, torche, sifflet, plan communal, gilet jaune, corne de brume, couverture de survie…). Elle est à disposition salle du conseil et salle des cérémonies. En cas de nécessité Nantes Métropole peut intervenir.
Les autres délibérations en bref
Les règles d’amortissement ont été modifiées. Maintenant l’amortissement débute à partir de la mise en service du bien. Deux compléments de subvention ont été accordés à trois associations : Goulaine Country (571,20 €), Badminton (161,30 €) et à ACBG (423 €). Une subvention a été accordée aux Virades de l’espoir (1100 €) proportionnelle au nombre de participants des Sentiers de Goulaine. Un poste d’adjoint à l’animation à temps complet a été créé.
La réhabilitions du manoir de Ker Clar s’est chiffrée à 538 492,55 € après la régularisation de six avenants.
Questions de l’opposition
Michel Aubé demande si le projet d’aire d’accueil des gens du voyage a été relancé ? Rien pour 2026 précise le maire. Du même élu concernant les problèmes de stationnement et de dangerosité du grand Point à la Champagnere ? Une évocation de zone bleue avec rétrécissement de la Chaussée. Claudine Jouan pose la question de la sécurité du portail du jardin d’enfants et quid des jeux au parc de la Champagnère ? C’est un problème qui est de la responsabilité des parents répond le maire pour le premier point et des nouveaux jeux seront installés pour tenir compte de l’âge. Quel est le planning des travaux de longue Mine demande Jean-Pierre Dautais ? Réponse, Ils seront terminés début de l’année 2026 sauf si crues de la Loire. Du même élu : le problème de rejet des micropolluants en lien avec le système du réseau d’assainissement et station d’épuration de l’île Chaland a reçu un début de résolutions mais insuffisants pour les rejets non traités bruts.