Proposer 11 soirées de concerts, chaque année, sans se répéter, c’est le défi que relève, depuis plus d’un demi-siècle, Nancy Jazz Pulsations (NJP). Le festival nancéien n’a jamais fait comme les autres. Et ça ne changera pas.
Quand les copains ont animé l’été, NJP ouvre l’automne. Et non pas dans une séquence de trois jours mais dans une volée de soirées égrainées sur 11 jours. Et si le chapiteau de la Pépinière reste le phare de l’événement, d’autres scènes vont jouer leur partition.
Le jazz dans tous ses états
Durant quatre soirs, la salle Poirel accueillera, sous ses ors, la subtilité et le talent de Sophye Soliveau et China Moses – qui remplace Rhoda Scott –, la « voix d’or de l’Afrique » Salif Keïta, le jazz spirituel de Ganavya, l’étoile montante Stella Cole, la solaire Kareen Guiock-Thuram, qui rendra hommage à Nina Simone… Ouvrant la voie à Mathieu Boogaerts et à Voyou pour une soirée dédiée à la chanson française.
Et parce que le jazz reste la colonne vertébrale de Nancy Jazz…