EN BREF

  • Cyril Hanouna partage un moment intime sur Fun
    Radio.
  • En pleine conversation téléphonique avec Emmanuel Macron,
    l »animateur se retrouve dans une situation
    embarrassante.
  • Il revient sur ce jour où il a dit répondre au président
    de la République, sur les toilettes.

Cyril Hanouna ne fait jamais
dans la demi-mesure. Sur Fun Radio, il a partagé
un épisode intime qui ferait rougir n’importe qui.
Sauf lui. Au programme : fesses à l’air et
discussions sur les toilettes.
L’animateur
, fidèle à son style, a tout détaillé sans filtre.
Appels privés, anecdotes absurdes, le tout
saupoudré d’humour grinçant. Rien ne lui échappe. Et encore moins
lorsqu’il s’agit du
président de la République
.


Touche pas à mon poste
. « Je ne suis pas encore
dans l’émission, je suis dans ma loge. Et j’ai mangé chez ma mère
la veille. Je ne suis pas bien, je suis beaucoup aux
toilettes
« , confie
Cyril Hanouna
, sous les rires de ses chroniqueurs. Il raconte
son interminable passage sur le trône. Et c’est là qu’un numéro
privé apparaît à l’écran. Appuyer sur le rouge ? Non, cette fois,
il décroche.

« Mais là, je suis
le cul à l’air
, et je réponds. Il me dit : ‘Cyril, c’est
Emmanuel ! Je voulais vous souhaiter bon anniversaire quand
même' », raconte-t-il. Le président, en déplacement, insiste :
« Bah comme je sais que c’est ton anniversaire, je me dis que je
vais quand même t’appeler. Donc c’est moi qui n’arrête pas de
t’appeler depuis tout à l’heure. » On imagine la scène : Cyril
Hanouna, roi des plateaux, réduit à l’état de simple mortel sur son
trône, en proie des ennuis gastriques.

Cyril Hanouna : entre politique et
anecdotes

Ce coup de fil
insolite
aurait pu rester anecdotique. Sauf que le
contexte de la fermeture de C8 plane toujours.
Cyril Hanouna, dans son style franc et direct, a souvent pointé du
doigt
Emmanuel Macron
, accusé d’avoir influencé la décision. Mais le
président avait clarifié la situation en direct du Salon de
l’agriculture : « De là où je
suis, je ne peux pas commenter des décisions qui
sont prises par une autorité indépendante et qui appliquent la
loi ». Puis, encore plus clair : « Pas une décision politique du
tout
. La loi a été conçue pour que ce ne soit pas une
décision politique : ce n’est pas à l’arbitraire, ni d’un ministre,
ni du président, d’ouvrir ou fermer une chaîne. »

L’animateur a donc appris que
même les rodomontades télévisuelles ont leurs limites. Entre
humour, dérision et confidences improbables,

Baba
confirme une fois de plus qu’aucune situation n’est trop
sérieuse pour qu’il n’y mette un grain de folie.