Nouveau revers pour les opposants à la LGV Bordeaux-Toulouse. Le tribunal administratif de Toulouse a débouté ce mardi le recours déposé par des opposants au chantier sur l’aménagement ferroviaire au nord de la Ville rose pour permettre l’arrivée de la ligne à grande vitesse.

Saisie en référé, la juridiction « a considéré que les moyens soulevés par l’association requérante n’étaient pas de nature à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée ». La demande de suspension de l’autorisation environnementale a ainsi été rejetée.

Cette LGV, dont la construction a débuté en mai 2024, doit notamment relier en 2032 Toulouse à Paris en 3 heures et 10 minutes, gagnant plus d’une heure sur le temps de voyage actuel.