Par
Lisa Rodrigues
Publié le
30 sept. 2025 à 15h20
L’été 2025 a été marqué par une série de cas autochtones de chikungunya identifiés dans l’agglomération grenobloise. Un total de trois foyers a été comptabilisé par l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes, sur trois communes différentes. Le premier a concerné Claix, au sud de Grenoble : le premier malade a été signalé le 4 juillet, puis quatre autres patients ont été repérés.
Dans son dernier communiqué en date du 29 septembre, l’ARS fait un point de situation sur les cas isérois.
Le plus gros foyer de la région est en Isère
Fin septembre, alors que la population adulte de moustique tigre devrait baisser à l’approche de l’hiver, seul le foyer de Claix est clos. Les deux autres foyers isérois sont toujours actifs.
C’est notamment le cas de celui d’Eybens, où 35 cas autochtones de chikungunya ont été recensés depuis le 7 août, ce qui en fait le plus important foyer d’Auvergne-Rhône-Alpes pour cette maladie tropicale.
Près de huit opérations de démoustication ont été réalisées, en majorité sur les secteurs des Ruires, autour de la mairie et du cimetière, et entre la rocade et l’avenue Jean-Jaurès.
Nouvelle opération de démoustication
Le dernier foyer recensé est celui de Varces-Allières-et-Risset, dont le seul et unique cas confirmé a été signalé le 17 septembre.
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La mairie vient d’annoncer mardi 30 septembre qu’une deuxième opération de démoustication va être organisée dans la nuit du mercredi 1er octobre au jeudi 2 octobre sur « une partie du centre-ville » entre 2 heures et 5 heures du matin.
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Les habitants du périmètre traité ont été avertis des mesures de précaution à mettre en œuvre pendant et après la démoustication.
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