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«Je vais aller à la réunion, je vais rencontrer des généraux, des amiraux, et si je n’aime pas quelqu’un, je le licencierai immédiatement.» Avant son discours face à plus de 800 chefs militaires américains, Donald Trump annonçait ce mardi la couleur: malgré la tradition «apartisane» de l’armée, dont les dirigeants font allégeance à la Constitution et non au président, ceux qui ne soutiennent pas sa politique sont invités à se taire. Ou à changer de travail.

Une fois sur place, le chef de l’Etat a poursuivi sur sa ligne actuelle, soulignant que les Etats-Unis sont sujets à «une invasion de l’intérieur» qu’il s’agit de «stopper» – en citant comme exemples récents Washington, Portland ou Los Angeles, villes démocrates où il a envoyé l’armée. Et il a suggéré: «Nous devrions utiliser certaines de ces villes dangereuses comme terrains d’entraînement pour nos militaires.» Le glissement américain vers l’autoritarisme n’est plus une théorie, alertent les démocrates.