Cette technologie – dont le potentiel reste a priori limité au Royaume-Uni – risque de « démolir » les engagements climatiques du pays tout en étant « dangereuse et extrêmement préjudiciable pour notre environnement », a-t-il lancé lors d’un discours au congrès du parti travailliste à Liverpool, appelant à « interdire la fracturation hydraulique ».

Il s’agissait d’une promesse de campagne du parti travailliste de Keir Starmer, élu en juillet 2024.

Le gouvernement de l’éphémère Première ministre conservatrice Liz Truss avait brièvement levé en 2022 un moratoire sur la fracturation hydraulique, en vigueur dans le pays depuis 2019 en raison des risques de secousses sismiques. La suspension avait été rapidement réintroduite par son successeur, lui aussi conservateur, Rishi Sunak.