Résumé

Kendji Girac revient dans son autobiographie sur la perte douloureuse de sa nièce prématurée, un événement marquant de sa jeunesse qui l’a profondément marqué.

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Si, aujourd’hui, Kendji Girac a sorti la tête de l’eau et peut profiter de la vie grâce à ses succès musicaux, il a dû traverser de terribles épreuves pour y parvenir. C’est en tout cas ce qu’il raconte à travers les pages de son livre Mi Vida.

Un livre autobiographique paru le 1er octobre dernier aux éditions Flammarion. Dans cet ouvrage, il revient notamment sur le drame qui a failli lui coûter la vie il y a un an et demi, lorsqu’il se tirait accidentellement dessus sous les yeux de sa compagne Soraya. 

Depuis cet incident, Kendji Girac retrouver peu à peu son énergie et sa détermination. La preuve, avec ses retours sur les plateaux de télévision, les interviews qu’il enchaîne, ainsi que ses nouveaux projets musicaux. 

Kendji Girac tonton à 10 ans

Mais dans son livre Mi Vida, le chanteur âgé de 29 ans n’évoque pas seulement son tir qui a failli lui coûter la vie. Il revient également sur sa jeunesse et le fait d’avoir été confronté à la mort très jeune. Notamment lorsque sa nièce quittait ce monde. 

« J’avais neuf ou dix ans peut être, j’ai perdu ma première petite-nièce, la fille de ma sœur Sophie », révèle-t-il dans son ouvrage. Kendji Girac précise que le bébé est né prématuré  « avec de grandes difficultés à respirer ». 

« Les mois qui ont suivi sa naissance, elle devait rester dans un centre médical dédié aux enfants malades. J’allais la voir toutes les semaines avec ma mère. J’étais très heureux d’être un si jeune tonton, j’avais hâte de la choyer et de lui apprendre plein de choses. Je ne mesurais pas bien ses problèmes de santé et ce qu’elle devait endurer pour survivre », poursuit le chanteur.

Sa nièce a perdu la vie à un an

Toujours à travers son livre, Kendji Girac révèle que sa nièce n’a malheureusement pas survécu et a quitté ce monde très jeune : « Elle a fini par mourir, elle avait un an. La vie s’est arrachée d’un coup ». 

Avant de poursuivre : « Je me souviens de la veillée organisée pour elle, du silence épais comme un brouillard tout autour de la caravane et des cris des mamàs qui parfois fendaient l’air. Je me souviens des pleurs de ma mère et de la douleur impossible de ma sœur ».

Kendji Girac n’a rien oublié au fil des années et garde une terrible image en tête. Celle du « visage endormi de [sa] nièce et de sa dernière tenue dans son tout petit cercueil blanc« .

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