La présidente de la Commission Ursula von der Leyen et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le jeudi 2 octobre à Copenhague.

La présidente de la Commission Ursula von der Leyen et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le jeudi 2 octobre à Copenhague. SUZANNE PLUNKETT / AFP

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L’expression, éminemment médiatique, alimente en boucle les plateaux des chaînes d’information. Alors que dix pays européens ont été concernés par des survols suspects ces trois derniers mois (France, Allemagne, Pologne, Danemark, Norvège, Roumanie, Estonie, Lituanie, Lettonie et, dernière en date ce vendredi 3 octobre, la Belgique) et que tous les soupçons convergent vers Moscou, le commissaire européen à la Défense, le Lituanien Andrius Kubilius, a trouvé la solution : l’édification d’un grand mur antidrones, sur le modèle des technologies développées par l’Ukraine en trois années de « guerre des drones ». Les Ukrainiens ont, en effet, mis au point des instruments de détection acoustique permettant de repérer les engins volants à l’approche, couplés à des systèmes d’interception par tir ou brouillage.

Le sujet n’était pas à l’agenda du Conseil européen informel de Copenhague, ce mercredi 1ᵉʳ octobre, mais il a fait l’objet de longues discussions préliminaires. Les technologies antidrones avaient été identifiées dès le printemps dernier comme une des « lacunes capacitaires » (comprendre : un série…

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