À tout juste 19 ans, Barron Trump découvre les joies du flirt. Mais attention, quand on est le fils cadet de Donald et Melania, le rencard ne se passe pas à la cafétéria du campus ni au cinéma du coin. Non, il se déroule à la Trump Tower et sous conditions. Un étage entièrement consigné et un anonymat garanti pour l’élue du jour. Page Six raconte que le dispositif n’était pas une fantaisie romantique mais une mesure imposée par ses gardes du corps.

Officiellement, la privatisation de l’étage n’était pas destinée à impressionner sa dulcinée mais on imagine qu’arriver dans un building à son nom privatisé pour le rendez-vous galant doit certainement permettre de marquer quelques points. Barron Trump, qui vit désormais à Washington pour suivre ses études à la Stern School of Business de NYU, reste contraint d’utiliser des subterfuges improbables pour préserver un semblant de vie privée. À ses nouveaux amis, il ne donne pas son numéro de téléphone (trop risqué, paraît-il), mais son identifiant Xbox pour discuter tranquillement. Les romances 2.0 ont donc chez lui des airs de parties de Call of Duty.

Le plus grand cœur à prendre de Manhattan ?

Avec ses 2,06 mètres, ses cheveux bien coiffés et une Rolex à 50 000 dollars déjà repérée à son poignet, Barron n’a rien d’un simple étudiant anonyme. « C’est un vrai tombeur, c’est certain. Il est très populaire auprès des femmes. Il est grand et beau. Beaucoup de gens semblent le trouver très séduisant. », affirmait une source à People en décembre dernier. Un camarade racontait même qu’au campus new-yorkais, il était « le mec », celui que toutes les étudiantes remarquaient. Pas étonnant que son premier rendez-vous attire autant de spéculations que la prochaine sortie de Donald Trump sur Truth Social.

Reste une question : était-ce un flirt passager ou le début d’une véritable romance ? Mystère. Ce qui est sûr c’est qu’aimer Barron Trump, c’est aimer sous tutelle. Entre une mère surprotectrice, un père en campagne électorale permanente et des gardes du corps capables de bloquer un ascenseur à la seconde, la vie sentimentale du jeune homme ressemble davantage à une série Netflix politique qu’à une comédie romantique. En somme, Barron Trump n’a peut-être pas encore trouvé le grand amour, mais il aura au moins inventé une nouvelle définition du « rendez-vous privé ». Chez lui, cela signifie littéralement que personne d’autre n’a le droit d’entrer dans le bâtiment.