Raphaël Glucksmann note que Sébastien Lecornu a rejeté la taxe Zucman mais qu’il « n’a pas formulé de proposition claire » en alternative. Il revient sur la « taxe sur les holdings » évoquée par le Premier ministre, « dont on perçoit mal les contours », estime-t-il.

La justice fiscale est une « exigence de la société française », estime l’eurodéputé. Ce dernier dénonce des « systèmes perfectionnés d’optimisation fiscale » et souhaite « mettre un terme à cette injustice ».

Pour lui, cette position « extrêmement simple » n’est « pas du gauchisme », mais consiste à dire que « si on demande un effort à la nation, il doit commencer par celles et ceux qui ont le plus bénéficié des huit dernières années, qui ont multiplié leur fortune par deux et qui ne se sentent pas concernés par l’effort commun. » Or selon lui, « les propositions de Sébastien Lecornu ne permettent pas cela. »