Les élèves ont sept semaines pour lire les 14 livres en lice pour le prix.

Les élèves ont sept semaines pour lire les 14 livres en lice pour le prix.  HUGO RIBES POUR « LE NOUVEL OBS »

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Loin des salons feutrés de chez Drouant où les académiciens Goncourt se réunissent chaque année pour élire leur lauréat, d’autres jurés tiennent entre leurs mains le destin d’une poignée d’écrivains. Ils portent des joggings, des jeans et des sweats à capuches. Et ne déjeunent certainement pas de tourte de perdreaux, contrairement à leurs illustres aînés – à moins que les cantines scolaires aient bien changé. Devant la porte du CDR (Centre de Documentation et de Recherches) du très moderne et lumineux lycée Docteur Charles-Mérieux à Lyon, ils sont une quinzaine à patienter sagement. Tous des élèves de terminale HLP (humanités, littérature, philosophie), qui participent cette année au Goncourt des lycéens.

C’est déjà la 38ᵉ édition de ce prix imaginé par un professeur et une libraire de Rennes, puis organisé par la Fnac et le ministère de l’Education nationale. Une récompense très prescriptrice, non entachée de soupçons de connivence ou de conflits d’intérêts, et chère aux auteurs et autrices, qui von…

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