À chaque coin de rue, Lucas n’a laissé que de bons souvenirs et personne n’a oublié ce gamin qui partait jouer avec son ballon sans vraiment imaginer qu’un jour il finirait professionnel. « Avec son frère, ils pouvaient rester des heures à faire des frappes sur le terrain. Je demandais à fermer le portail, mais ils sautaient par-dessus et leur père savait très bien où ils étaient partis », se remémore Michel Hardies, le président du SC Coquelles, premier club de Lucas.