La princesse Diana avait quelques petits secrets… En 1981, l’aristocrate est devenue princesse de Galles suite à son mariage avec le futur roi Charles III — autrefois prince. Une vie royale donc, et médiatisée pour la jeune femme de 20 ans qui découvrait les appartements 8 et 9 du palais de Kensington — foyer qu’elle occupera jusqu’a sa mort en 1997. Nouvelle habitante de la résidence située au cœur de Londres, Lady Di a rapidement dû se plier aux règles de conduite fixées par son statut. Néanmoins, d’après Richard Dalton, son coiffeur de 1981 à 1990, l’ancienne princesse de Galles avait plus d’un tour dans son sac pour contourner les interdits. Au micro de People, le spécialiste capillaire a notamment révélé que son ancienne cliente royale avait l’habitude de faire entrer en cachette un objet au sein du palais : des tabloïds. Original, non ? Surtout lorsque l’on s’appelle Lady Diana Spencer et que l’on fait les gros titres — à nos moindres faits et gestes.
D’après Richard Dalton, la princesse Diana « n’avait pas le droit de lire les tabloïds », donc « l’un des coiffeurs les a introduits en cachette » au palais. « Cela n’a rien à voir avec moi », s’est-il dédouané avec humour. « Elle me disait : “Richard, peux-tu me les apporter ?” Personne ne s’en étonnait, car personne n’était au courant. Une fois que j’avais passé la sécurité et que j’étais dans le garde-manger, c’était du gâteau. »
Une fois en main, les journaux ne faisaient pas pour autant le bonheur de la princesse — « agacée » par la couverture médiatique dont elle faisait l’objet. « Je la coiffais, elle feuilletait les pages [d’un tabloïd] et elle poussait un soupir dégoûté », s’est souvenu Richard Dalton au micro de People, en imitant un gémissement. Lady Di jetait alors le journal « sur le côté ». Un certain cercle vicieux… « Puis un autre arrivait et [elle disait] “Ohhhhhh”. »
Une des rumeurs propagées par les tabloïds qui affectait le plus Lady Di concernait ses enfants, notamment le benjamin de la famille, le prince Harry. « Ils [les journaux] n’arrêtaient pas de se demander : “Charles est-il le père d’Harry ?” » Une question inepte selon Richard Dalton, qui confie sa réponse en toute logique à People : « Bien sûr que oui. »