Kinshasa, 5 octobre 2025 – Un vent de fermeté souffle sur Kinshasa. Le président Félix-Antoine Tshisekedi a décidé de refuser toute signature d’accord économique avec les États-Unis tant que le Rwanda n’aura pas retiré ses troupes du sol congolais. Derrière cette décision historique se cache une bataille géopolitique féroce où minerais, pouvoir et trahisons s’entremêlent.

Le message clair de Tshisekedi : “Pas de cobalt sans paix”.

Dans une déclaration confidentielle relayée par « Veritas Info », le chef de l’État congolais a été catégorique : “La RDC est prête à fournir aux États-Unis ses réserves stratégiques de cobalt, mais pas au prix de sa souveraineté. Washington doit contribuer à garantir la paix dans l’Est.”

Une phrase lourde de sens, car elle met les États-Unis face à leurs responsabilités : vont-ils défendre les valeurs qu’ils prônent ou fermer les yeux sur l’occupation rwandaise pour accéder aux minerais congolais ?

Un plan secret de Kagame pour piéger la RDC.

Veritas Info a été contacté par une source rwandaise haut placée, issue du cercle rapproché du président Paul Kagame. Ce haut responsable, écœuré par ce qu’il a entendu lors d’un dîner confidentiel à Kigali, a révélé un plan dissimulé et redoutable. “Mon plan avance parfaitement…”, aurait lancé Kagame, sûr de lui, à ses conseillers.

Selon notre informateur, Kagame, avec l’appui tacite de certains alliés régionaux et occidentaux, prépare un accord économique intégré avec la RDC, l’Ouganda et le Kenya. Mais cet accord cacherait un piège mortel pour la souveraineté congolaise.

Le piège : légaliser le pillage.

Derrière des mots comme “coopération régionale” et “intégration économique”, le plan serait simple :

1. Conserver les troupes rwandaises dans les zones minières sous prétexte de sécurité.
2. Signer un accord qui autoriserait Kigali à exporter officiellement les minerais du Congo.
3. Construire une base militaire solide dans l’Est pour verrouiller la région et rendre toute libération impossible.

“Une fois cet accord signé, Kagame aurait la légitimité de vendre les minerais congolais sous un vernis légal. La guerre continuerait, mais avec la bénédiction de la communauté internationale”, explique notre source.

Pire encore : plusieurs cargaisons de minerais issus des zones de conflit seraient déjà en route vers les États-Unis, selon des informations concordantes obtenues par nos informateurs.

Washington dans la ligne de mire.

Kag

ame aurait même proposé un “plan B” à certains diplomates américains : “Ne négociez plus avec Tshisekedi. Je peux fournir les minerais congolais à prix bas.”Une stratégie cynique qui viserait à court-circuiter Kinshasa, saboter les négociations de Doha et placer les grandes puissances devant un fait accompli :
le Rwanda comme fournisseur “légal” des minerais du Congo.

Alerte à la présidence congolaise.

Dans les couloirs de Kigali, tous les proches du pouvoir murmurent déjà ce plan.
À Kinshasa, plusieurs conseillers du président Tshisekedi s’inquiètent d’une tentative de piège diplomatique orchestré depuis Washington avec la complicité de Kigali.

“Si un tel accord est signé sans vigilance, la RDC risque de perdre non seulement ses minerais stratégiques, mais aussi une partie de son territoire”, prévient un expert en sécurité régionale interrogé.

La riposte de Tshisekedi : la souveraineté avant tout.

Face à cette menace, le président congolais aurait donné une instruction ferme à son gouvernement : aucune coopération économique majeure ne sera signée tant que le Rwanda n’aura pas totalement retiré ses troupes de l’Est. “Le Congo ne vendra pas sa paix. Nous ne troquerons jamais nos minerais contre l’humiliation”, aurait confié Tshisekedi à ses proches.

Cette posture ferme du président congolais marque un tournant historique.
Pour la première fois, Kinshasa ose conditionner l’accès à ses ressources stratégiques à la paix et à la justice.

Un message clair aux grandes puissances : “Celui qui veut le cobalt du Congo doit d’abord aider à libérer le Congo.” Mais le bras de fer ne fait que commencer. Entre les ambitions de Kigali, les intérêts économiques de Washington et la résistance de Kinshasa, le sort de l’Afrique centrale se joue peut-être maintenant, dans le silence des négociations diplomatiques.

Rédaction de « VeritasInfo ».