L’anecdote est dévoilée par Fabien Lecœuvre, dimanche 28 septembre en matinée, à une poignée de visiteurs de la 90e Foire internationale de Metz. Le collectionneur et chroniqueur télé parisien marque une pause devant la vitrine où se trouve une affiche de 1946 de Charles Trenet, le célèbre artiste de variété. Le temps d’expliquer pourquoi le document placé juste en dessous s’avère « exceptionnel » parmi les pièces de son exposition « 90 ans de chansons françaises », visible jusqu’au 6 octobre dans l’un des halls de l’événement, rue de la Grange-aux-Bois.

Un manuscrit original

« Charles Trenet, fils de notaire, ne faisait pas grand-chose à l’école », conte le guide du jour, mais il avait une idée de la carrière qu’il voulait embrasser. « Le 24 janvier 1933 », celui qui n’est pas encore connu passe donc l’examen d’entrée à l’école qui pourrait le former à ce métier aussi passionnant qu’exigeant qui l’intéresse alors : journaliste. « Le sujet est une question : “Quel est votre destin ?” Dans son devoir de composition, il écrit qu’il rêve que les animaux parlent et qu’il aimerait être artiste pour donner du rêve aux gens », résume Fabien Lecœuvre en désignant le manuscrit original.

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Recalé au concours d’entrée

« Évidemment, Charles Trenet sera recalé et ne deviendra pas journaliste comme il l’espérait », sourit l’expert musical. Trop de fantaisie dans la copie sans doute, alors que le journalisme se base sur une réalité tangible et des faits vérifiés. « En 1937, il écrira Y a d’la joie pour Maurice Chevalier avant de la chanter lui-même. À l’époque, il faisait de la réclame à la radio. La suite, on la connaît ! » Le poète lyrique deviendra un artiste de variétés célébré dans le monde entier.

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