Shy’m dans «Un dimanche à la campagne»
Capture écran.

Face à Frédéric Lopez sur France 2, la chanteuse et danseuse a partagé quelques rares détails sur sa famille, les hommes qui ont partagé sa vie et son fils, né en 2021.

Il y a Shy’m, la chanteuse, la danseuse qui vient retracer sa carrière ce 5 octobre auprès de l’oreille attentive de Frédéric Lopez sur France 2. Puis il y a Tamara Marthe, la femme qui se confie sur sa maternité dans cet inédit de «Un dimanche à la campagne».

D’un naturel timide, c’est dans la danse qu’elle s’épanouit d’abord. Sa mère est Normande, son père est Martiniquais et c’est ce dernier qui l’initie à la musique. Peu de temps après avoir obtenu son baccalauréat, elle est repérée par K. Maro et signe avec le grand label Warner. Le titre Femme de couleur lance sa carrière et la vie frénétique qui va avec.


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«Un petit bout» né en 2021

Côté vie privée, elle se définit comme une «amoureuse un peu compliquée». «Je me suis toujours dit que j’allais avoir un enfant, mais je me suis toujours demandé avec qui et c’était le problème», explique-t-elle pour justifier que «cela a pris du temps». Au mois de janvier de 2021, Tamara Marthe devient maman pour la première fois. Un petit garçon prénommé Tahoma. Elle avait annoncé sa grossesse en musique avec la chanson Boy.

Tamara Marthe poursuit son récit : «Je rencontre quelqu’un, on a ce petit bout et il me prend de tout son être, entièrement. Je n’ai plus envie de faire quoi que ce soit». La jeune maman définit sa relation avec son fils comme «addictive». «La plus belle chose que j’ai perdue en ayant un enfant, c’est la légèreté et la plus belle chose que j’ai rencontrée en l’ayant, c’est l’amour», déclare-t-elle avec beaucoup d’émotion pendant la dernière partie de l’émission de confession de la seconde chaîne.

De son nouveau rôle de mère, Tamara Marthe en a tiré un précieux enseignement : «ne jamais rien prendre pour acquis. Mon fils a été très révélateur de ça. Je pensais être comme ci, je pensais être cela et en fait, je me suis rendu compte qu’en 34 ans, je n’avais rien appris. Et que je recommençais à apprendre aujourd’hui», conclut-elle.