La superstar portoricaine n’a pas fini d’irriter les réacs états-uniens. Le chanteur Bad Bunny, auteur de plusieurs hits planétaires empruntant au reggaeton, au dembow et plus largement aux musiques d’Amérique latine, vient d’être désigné comme l’artiste qui animera la mi-temps du prochain Super Bowl, la finale du championnat de foot US, le 8 février 2026.

Après Kendrick Lamar cette année, c’est donc un nouvel artiste critique de l’administration Trump qui fera le show devant quelque 200 millions de téléspectateurs.

Originaire de Porto Rico, Bad Bunny utilise sa voix grave et ses rythmes irrésistibles pour porter haut la cause de son île, autonome mais délaissée par les États-Unis, où il refusait de se produire de peur des descentes des agents de l’immigration. Jusqu’à cette opportunité pour l’auteur du formidable album hommage Debí tirar más fotos, sorti le 5 janvier dernier.

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