Ophélie Meunier et son équipe vous proposent une séance de
rattrapage pleine d’énergie et de bonne humeur sur les faits
marquants des derniers jours et ce qui vous attend demain avec son
émission La grande émission.
Chaque semaine, ils décryptent l’actu avec humour et sans
filtre, en accueillant aussi bien des personnalités que des
anonymes qui font parler d’eux. Tendances, phénomènes de société,
culture, buzz, polémiques : aucune actu ne leur
échappe, même les plus inattendues !
L’animatrice voit son émission réduite de 45 minutes
Invitée dans Culture Médias sur
Europe 1 ce mardi 1er avril, Ophélie Meunier s’est exprimée sur
la nouvelle formule de La grande semaine, dont la durée
sera réduite dès ce week-end pour faire place à La roue de la
fortune. Le jeu animé par Éric Antoine, déjà diffusé en
semaine à 17h25, occupera désormais également la case du
samedi.
Le talk-show d’Ophélie Meunier commencera donc à 18h45, avec 45
minutes en moins. « Amputé (…) ce n’est pas
du tout comme ça qu’on le prend », a assuré l’animatrice, avant
de préciser : « Ça a été un choix absolument commun. C’est
vraiment une stratégie pour booster la partie de
l’émission qui fonctionne le mieux », tout en soulignant que le
programme « n’a fait que progresser » depuis son lancement
sur M6.
Ophélie Meunier sans limite : elle fait
une remarque
Énora Malagré a consacré sa chronique aux préservatifs en
chocolat et en a profité pour glisser quelques blagues
croustillantes, toujours sur le ton de l’humour. Un sujet insolite
traité avec légèreté et autodérision, fidèle à son style :
« Comme on se protège et qu’on sort toujours couvert, il y a
aussi les préservatifs en chocolat. Que j’ai testé et vraiment,
joyeuse Pâques ! » Celle-ci a terminé sa chronique avec une
délicatesse toujours sans faille : « Et ça se
suce Pierrick ! «
Les plaisanteries d’Énora Malagré ont déclenché éclats de rire
et réactions complices sur le plateau, avant qu’Ophélie Meunier ne
réenchérisse avec une remarque encore plus audacieuse, faisant
monter d’un cran l’ambiance : « Désolée, il faut que je la
sorte. Et bien sûr, à la fin on avale, voilà c’est
dit ».