« Depuis le 1er septembre, nous avons saisi huit portables. Les deux derniers, pas plus tard que vendredi. L’un, en cours d’EPS (éducation physique et sportive) et l’autre, dans la cour de récréation : l’élève avait reçu son premier smartphone le matin même, il n’a pas résisté à la tentation de montrer son fond d’écran à un camarade », détaille le principal, également membre de l’exécutif de ID-FO, le deuxième syndicat des chefs d’établissement.