Porte-clés, radio-réveil, chaussures, détecteur de fumée… Les moyens d’exercer des cyberviolences sont nombreux. « Il y a un marketing autour des objets connectés, très faciles d’accès. Mais ils peuvent devenir des objets de surveillance pour filmer, écouter, localiser… », estime Thibaut Rousseau, médiateur numérique au sein de Zoomacom. L’association en a rassemblé une vingtaine dans une mallette, dans le cadre de son projet de hackerspace, un pôle d’expérimentation…