Tous les amateurs d’athlétisme avaient coché la date du samedi 7 juin et en salivaient d’avance.

Depuis sa renaissance en 2019, parenthèses Covid exceptées, le meeting Athéo de Strasbourg avait pris l’habitude d’en mettre plein les yeux, avec d’une part un plateau national et international fourni, de l’autre la possibilité de voir à l’œuvre le gratin régional, sublimé par le contexte.

Depuis que l’Algérien Djamel Sedjati, vice-champion du monde quelques semaines plus…