Quelques jours avant le vote suisse, le Royaume-Uni avait déjà annoncé son propre projet d’identité numérique. 

Selon Le Figaro dans un article du 30 septembre 2025, le Premier ministre Keir Starmer a affirmé que ce titre sera indispensable, « impossible de travailler sans ça ».

La porte ouverte à de futures dérives liberticides ?

Du volontariat à l’obligation

Présenté comme un outil pour « faciliter l’accès aux services publics et lutter contre le travail illégal », l’e-ID britannique illustre une stratégie bien rodée…

… d’abord facultative, elle devient rapidement incontournable pour vivre et travailler !

Impossible de ne pas parler non plus de l’instrumentalisation qui est faite de la lutte contre l’immigration et le travai illégal.

Un faux-nez brandi par le gouvernement britannique pour répondre à la tendance conservatrice qui s’est emparée du pays tout en imposant une mesure clairement liberticide.

De toute évidence, cette logique interroge : qui contrôle la clé qui ouvre — et peut fermer — l’accès à la vie sociale et professionnelle ? 

Le Royaume-Uni rejoint une tendance mondiale où la centralisation des données personnelles devient un pilier de la gouvernance.

Sous couvert de modernité et de sécurité, c’est un changement de paradigme : le citoyen ne détient plus des droits universels, il dépend d’un identifiant numérique centralisé. 

Une dépendance lourde de conséquences.

Identité numérique : tout ce qu’il faut savoir !

Toute l’équipe de Juste Milieu a mené l’enquête sur ce sujet.

Nous avons concentré toutes les informations à connaître sur ce projet international qui se met en place dans de nombreux pays.

Et cela ne fait que commencer…

Pour mettre les informations à la disposition de tout le monde, nous avons décidé de publier une fiche récapitulative.

Pour la recevoir gratuitement, laissez-vous guider.

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