Bron – Nancy-Seichamps
Ce dimanche, 15h15
Plus on est de fous, plus on rit. Cet adage pourrait parfaitement coller à la section féminine du NSR dont l’équipe de Fédérale 1 débute son championnat ce dimanche, en banlieue lyonnaise. Avec un petit bémol, cependant, puisque ce retour à la compétition se fera sans Emilie Leclerc, qui va découvrir le championnat « Réserve Elite » grâce à une double licence avec l’AC Bobigny 93, et sans Amélie Tenouche qui prend, quant à elle, son envol pour le Stade rennais.
Mais ces dernières seront vite « remplacées » grâce au travail de formation effectué au sein de le section féminine, avec l’arrivée de cadettes et de jeunes joueuses qui vont avoir l’opportunité de découvrir ce championnat. « L’ossature n’a pas changé, explique Laurent Monestier. Les jeunes vont venir bonifier le jeu et il y a beaucoup d’entraide. Elles sont toutes investies et travaillent d’arrache-pied. »
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Un groupe bien élargi
Pas question de ne viser que le maintien, largement à la portée des Nancéo-Seichanaises. Le but est de nourrir des ambitions plus élevées. « Il faut qu’on passe un cap, c’est certain. Il faut surtout qu’on soit capable d’apprivoiser ces paliers », poursuit l’entraîneur du NSR.
Voilà pourquoi la masse de joueuses a grossi au NSR avec comme indispensable nouveauté la création d’une Fédérale 2. « On récupère souvent des filles venues des environs et, ici, on leur offre la chance d’évoluer au niveau fédéral, donc elles restent avec nous. » Entraînée par Antoine Santos et Yannick Courteaux, cette équipe sera un vrai réservoir aussi pour la Fédérale 1.
D’ailleurs, cette dernière est exempte ce week-end et certaines joueuses pourraient peut-être en profiter pour se joindre au déplacement à Bron. « On s’entraîne tous en même temps et on divise ensuite les ateliers en groupe séparé. Mais aujourd’hui on a un vrai groupe élargi de 40 joueuses. » De quoi aborder cette saison 2025-2026 avec optimisme.